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26/10/2011

Viens me voir dans ma solitude

Viens me voir dans ma solitude

 

L'un des points forts des Oldie, est qu'ils savent habilement brouiller les frontières entre les genres. Ainsi en est-il avec cette nouvelle, où l'on rencontre Charon, le naute de l'enfer, et la Mort, une belle femme toujours en quête de proies, et pourtant, le postulat lui-même (qu'il est impossible de dévoiler ici), relève de la science-fiction.dimenensionrussie01.jpg

 

Traduction: Viktoriya et Patrice Lajoye

Publiée dans Dimension Russie, 2010, Rivière Blanche

 

Ils en ont parlé:

"Il en est de même pour le très réussi Viens me voir dans ma solitude, à nouveau signé Henry Lion Oldie, qui croise la mythologie gréco-romaine et celle du 'socialisme réellement existant': aussi ramassé que percutant."

Maestro pour Wagoo

"Les textes de Henry Lion Oldie (Relève-toi Lazar et Viens me voir dans ma solitude) sont étranges et décalés: empreints d'une atmosphère toute particulière, ils développent le thème de la solitude avec beaucoup de justesse."

Tony Sanchez pour ActuSF

"Enfin, Viens me voir dans ma solitude lorgne du côté de la fantasy sans pour autant oser franchir totalement la rivière des genres."

David M. pour Scifi-Universe

 

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La Fin justifie les moyens

La Fin justifie les moyens

 

Fait curieux: cette nouvelle n'a pas été publiée en russe, mais directement en français. Les Oldie avaient en effet accepté de participé à un concours, le concours "Clavène", organisé lors de la convention de SF de Bellaing en 2006.

Texte de commande, et pourtant très bon texte de science-fiction d'aventure!GR1-4.jpg

 

 

Traduction: André Cabaret

Publiée dans Géante Rouge n°4, 2006; repris dans Géante Rouge supplément, 1-2-3-4

 

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Une Vie qui n'a pas eu lieu

Une Vie qui n'a pas eu lieu

 

Première nouvelle des Oldie publiée en français, elle dévoile déjà des auteurs capables d'une grande poésie, dans un texte sur une rencontre fantômatique qui n'a pu se faire...Lunatique 69.jpg

 

 

Traduction d'André Cabaret

Publiée dans Lunatique n°69, 2005, éditions Eons

 

Ils en ont parlé:

"Henri Layon Oldie (sic) livre lui un texte plein de poésie sur la rencontre entre deux adolescents".

Jérôme Vincent pour ActuSF

"Une Vie qui n'a pas encore eu lieu (sic) de Henri Layon Oldie (pseudo de deux écrivains russes, en fait) est beaucoup plus littéraire et ambitieux. Il a donc les défauts de ses qualités. On accroche ou pas, on entre ou pas dans la petite mélodie présentée".

Stéphane Pons pour Yozone

 

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